« En Europe, il faut se montrer exemplaire. Encore 50 000 tonnes de plastiques partent dans les océans au bord des côtes françaises chaque année. Il faut par exemple se sentir concernés, nous européens, lorsque l’on achète des objets qui proviennent de l’autre bout du monde qui génèrent des déchets.
On a été capable de débloquer 3 000 milliards d’euros pour sauver des millions de vie durant cette crise sanitaire, c’était une bonne chose. On doit être capable de sortir les mêmes sommes pour sauver l’humanité de ces désastres écologiques qui nous attendent comme la pollution des océans et le réchauffement climatique. »